Un peu de faste impérial
Retour en Chine pour une deuxième salve de posts. Aujourd'hui, petite promenade dans les impressionnantes demeures impériales de Pékin. La Cité interdite, le Palais d'été, Pékin : colossal. C'est le mot qui s'impose. Sous le poids du soleil et dans une luminosité intense, la Cité Interdite s'étend, considérable, interminable, implacable, inhumaine : 723 000 mètres carrés tout de même.
Plantée au milieu de la ville, la Cité pourpre impose son autorité inflexible : il était interdit d'édifier des bâtiments plus hauts, et il fallait contourner ce coeur clos pour passer des quartiers de l'est aux quartiers de l'ouest
Comme partout, le dragon (et sa variante, la tortue) s'imposent pour symboliser la puissance et la longévité de l'empereur.
Plantée au milieu de la ville, la Cité pourpre impose son autorité inflexible : il était interdit d'édifier des bâtiments plus hauts, et il fallait contourner ce coeur clos pour passer des quartiers de l'est aux quartiers de l'ouest
Et pour finir, le Palais d'Eté, aussi nommé jardin des Vagues Claires, conçues pour le bon plaisir de l'impératrice mère Nihulu.
Comme partout, le dragon (et sa variante, la tortue) s'imposent pour symboliser la puissance et la longévité de l'empereur.
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